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Yamada Keisuke
AVATAR : ryo nishikido. AGE : 23 ans. SECTION : Scientifique HERE I AM : fiche liens points.
| Sujet: then we love until we bleed. ♦ keisuke Sam 8 Oct - 8:13 | |
| Yamada Keisuke feat ryo nishikido.
Sexe - masculin. Né(e) le - 03 mars 1988. Âge - 23 ans. Origine - japonaise. Orientation sexuelle - femmesexuel. Section - sciences. Année - 5ème année. Clan - aucun.
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woop.
Votre Age - 18 ans. Votre Fréquence de rp - ça dépend, 5/7. Comment avez-vous connu le forum ? je le connaissais sur l'ancienne plateforme, mais chuu' m'y a conduit <3 Autres - j'aime beaucoup vos smileys ! mais il manque du wooyoung è.é *sort* |
Respect des autres ★★★★★
Docilité ★★★★★
Sensibilité ★★★★★
Confiance en soi ★★★★★
Sociabilité ★★★★★
Sérieux ★★★★★
Maîtrise de soi ★★★★★
Popularité ★★★★★ |
Comment se comporte votre personnage - avec les autres - Timide, aux premières allures, Keisuke n’est pas de ces types à vous faire la discussion simplement parce que vous vous trouviez dans son champ de vision. Non, disons plutôt qu’il a toujours attiré l’intérêt des autres indépendamment de sa volonté. C’est un jeune homme incroyablement poli, et n’hésitera en aucun cas à s’excuser si cela est nécessaire ; il a très rapidement appris à ravaler sa fierté. Un garçon définitivement facile à vivre, manquant cruellement de prestance et de confiance en soi, il lui est difficile de s’imposer. Certains l’affublerait du qualificatif « faible », ce qui n’est pas totalement faux, mais c’est un adulte pleins d’ambitions qui ne trouve simplement pas le courage de courir après ses rêves. Agréable, et souriant, il tente par tous les moyens d’éviter les conflits, quitte à mentir délibérément - chose qui se retourne facilement contre lui. Keisuke ne s’emporte pas, à moins de toucher LE point sensible, il prend généralement les remarques et critiques pour lui, les acceptant humblement quitte à être blessé. Vu comme un père exemplaire par plusieurs de ses compagnons de crèche, il lui arrive d’être mal perçu par certains esprits mal lunés. Le japonais se sent parfaitement confortable dans son rôle de père célibataire, et malgré les divergences d’opinions, il prend un réel plaisir à élever son fils !
- avec ses amis - C’est un joyeux luron ! Un rayon de soleil, sa présence rayonne lorsqu’il se sent en totale confiance et sa gentillesse n’a plus de limite ! Une perle rare. Il vous rendra service autant que possible, sans le moindre rechignement. On se rend compte que ce semblant de faiblesse cache une véritable énergie et un rêveur décidé ! Il aime fêter les moindres événements, ou simplement un petit rassemblement dans le but de réveiller l’humeur, jusque là, morose ! Ses amis sont son second trésor, il sait que la vie serait bien triste sans eux ! Plus ouvert, plus dynamique, tout simplement lui ! Il encourage vivement ses proches dans leurs choix, et tentent de les sortir des incertitudes - bien qu’il ne soit pas le mieux placé dans ce domaine. Il aime se sentir soutenu, tout comme soutenir les autres, c’est une relation d’échange et son sourire n’en saura que plus radieux ! Fragile, ses amis se permettent d'interférer lorsqu'une situation semble mal tourné pour Kei' et forment une coquille protectrice à tout moment.
- avec ses conquêtes - Keisuke n’a connu qu’une grande histoire d’amour, qu’il a vécu pleinement et entièrement ! Il s’offre tout simplement à sa moitié, prêt à sacrifier ses rêves ! Romantique suffirait à résumé son comportement amoureux, c’est un homme gentil, attentionné et surtout, attentif. Les gestes tendres, les mots doux sont sa spécialité ! Grand rêveur dans l’âme, les deux amants avaient des plans pleins la tête, prêts à conquérir le monde de leur amour, oui le sentiment d’invincibilité. L’amour est illusoire. Kei’ l’a appris bien assez tôt, puisqu’ils engendrèrent un enfant. Cela ne l’a pas empêché de s’enticher encore et encore après sa rupture ; un véritable cœur d’artichaut ! Autant dire qu’il n’est pas toujours tombé sur des perles et que certains de ses coups foudres ont connu une fin… douloureuse ? Vous voyez, le nippon fait parti de ces hommes soumis, sa compagne a souvent les pleins pouvoirs sur lui, ce qui menait généralement au drame… Keisuke a un goût prononcé pour les femmes à problèmes, la dernière en date n’est autre qu’une jeune étudiante en droit pleine d’ambition, lui ayant indélibérément brisée le nez, bien que ses sentiments ne soient pas encore sûrs, il n’a plus beaucoup de doutes sur leur nature…
Parcours personnel - global - Banal. C’est bien là, le qualificatif qu’utiliserait Keisuke pour définir son passé. Fils d’un entrepreneur japonais, et d’une mère au foyer bien veillante, Kei n’a alors manqué de rien, que ce soit de biens matériels ou gestes affectifs. Bien sûr, on ressentait l’aura purement japonaise émanait de leur cercle familial ; son père avait tendance à boire et rentrer complètement fait à finir par s’affaler sur le divan puis dormir. Sa mère lui répétait que c’était « normal », que si maman pleurait il ne faudrait pas s’inquiéter, si papa haussait le ton il fallait faire preuve de sagesse et se taire. On les qualifiait de famille parfaite, indestructible, féérique ! Keisuke aimait ces appellations, il se sentait plus fort, mais le rêve s’écroulait de retour à la maison où monsieur Yamada rampait de nouveau jusqu’au fauteuil. La vie suivait son cours, les frasques de son géniteur se faisait plus discrète depuis sa récente promotion, et ses multiples voyages. Lui, se contentait de rendre la vie moins difficile à sa mère, se forgeant un caractère joyeux, il se persuadait que sa vie n’était pas si terrible et qu’il ne suffisait d’un rien pour l’ensoleillée !
Cette philosophie fut entretenue avec les années, la situation familiale stagnait et demeurait tel qu’elle avait toujours été. Keisuke vivait une adolescence plutôt douce, bien sûr il avait fini blessée par l’indifférence de ses géniteurs à son égard, il en était fragilisé. A l’âge de dix sept ans, le jeune japonais rencontra sa première compagne, Junko : une véritable révélation ! L’amour l’avait touché de pleins fouet, et il se sentait la force de déplacer des montagnes ! Ils étaient heureux, et avaient des rêves pleins la tête… tout était si parfait, jusqu’au test positif ; un test de grossesse. La belle le quitta sans la moindre raison, l’abandonnant à son sort, plus démuni que jamais… Décidé pourtant à concrétiser son rêve, devenir architecte, il débuta ses études dans la célèbre université Tokyoïte : Todai. Alors que le jeune homme vivait une vie sans rebondissements, son téléphone annonçait « Junko ». Blague, ou pas, celle-ci l’invitait à le rencontrer d’urgence sur les terres coréennes pour venir à la rencontre de son fils, ce qui fut alors un choc monstrueux. Ni une, ni deux, Keisuke prépara rigoureusement son transfert à l’université de Yonsei, et surtout la rencontre père-fils ! La retrouvaille et la rencontre se déroula parfaitement, la famille fut alors réuni le temps de deux mois ; l’annonce du départ de Junko pour réaliser son rêve américain brisa cette ambiance parfaite, un autre coup dur… Cela fait maintenant un an et demi que le jeune père prend son rôle très à cœur, et grâce à l’aide de son père, vit chez un cousin en banlieue Séoulite - aidant parfois au restaurant familial. Sa vie n’est pas parfaite, mais il ne s’en plaint aucunement ! Au contraire, son quotidien est dernièrement particulièrement chamboulée par l’arrivée d’une nourrisse au sein de la crèche que côtoie son petit Haroro, elle lui mène la vie dure mais Kei semble tout du moins appréciait cette présence !
- scolaire - Elève volontaire, bien que tête en l’air ! Keisuke n’a jamais eu de soucies majeur dans son parcours scolaire, autant dire qu’il s’en sortait haut la main. Bosseur sur les sujets qui lui posait problème, beaucoup moins lorsque la leçon lui paraissait d’une ridicule facilité. On lui reprochait simplement son coté rêveur, son esprit a la mauvaise habitude de vagabonder pendant les heures de cours, ce qui ne plaisait pas toujours à certains professeurs rigoureux. Toutefois, on lui pardonnait pour sa politesse, son respect ainsi que sa discrétion exemplaire ! Maladroit, il lui arrivait de déclencher des fous rires au sein de sa classe? Oui, Kei’ est malgré tout un très bon élève, bien qu’il peine encore à s’accoutumer à la langue coréenne…
Détails physiques - apparence générale - Mince, et élancé. Il est du domaine de l’impossible de déceler un semblant de graisse sur ce corps masculin ! De taille correcte pour un japonais, un petit mètre soixante-dix, on le trouve décidément petit au pays du matin calme. Son physique ne laisse pas indifférent, puisque peu commun, pourtant typique dans son pays natal. Une chevelure qu’il s’applique à protéger, après les avoir mené la vie dure plusieurs années, il s’est promis de ne plus les torturer inutilement ! Ses longs yeux en amandes attirent l’attention, à l’aide d’un regard pénétrant, mais principalement grâce à ces jolies cernes. Son sourire, non plus, ne laisse pas indifférent, capable de défier celui d’un enfant et d‘ensoleiller vos journées moroses !
- style vestimentaire - Kei’ ou comment se fondre dans la masse. Ses tenues se cantonnent au basique, sans jamais atteindre le stade démodé. Ses vêtements varient, mais le style est sensiblement proche ; jeans délavés, chemises carottées, nike dunk, une déclinaison impressionnante de tee-shirt, tout ça dans la plus grande simplicité ! Deux ou trois tenues correctes pour les grandes occasions, sans plus. A la maison, le stricte minimum suffit amplement, un simple jogging accompagné d’un marcel - plus un gilet en cas de grand froid. De quoi ne pas se sentir ridicule le contente largement, et il s’en satisfait pleinement. La mode n’est décidément pas son terrain préféré !
- signes particuliers - père célibataire d'un petit garçon surnommé Haroro - rêve de construire un restaurant - attire les femmes au caractère fort et dominante.
| Aimeriez vous adhérer à un clan ? pas pour le moment, trop occupé à régler les problèmes familiaux. Si oui, au(x)quel(s) ? / Et au(x)quel(s) n'aimeriez vous pas adhérer ? / Exemple de Rp- Spoiler:
« - Gabi, on va se détendre un peu, tu nous accompagnes ? - Je ne sais pas. - C’est un regroupement tranquille, sans alcool, ni substances illicites. - Très bien… puisque tu insistes. » Las, l’élève russe renonça à sa tranquillité. Ils n’avaient pas tord au fond, rien de très intéressant ne l’attendait à paresser entre les murs de la salle commune des Olen. Le lieu était particulièrement calme en ce début de soirée, mis à part deux ou trois paresseux se contentant de divaguer sur les divans, le reste s’accoutumait au silence et s’affairait à lire, ou autre activés cérébrales. Lui était étendu de tout son long sur son matelas, scrutant le plafond avec une telle intensité qu’ils semblaient ne faire qu’un. Pour tout vous dire, cela permettait à Gabriele de penser de ne penser qu’aux stries recouvrant une petite partie de l’aire. Ca n’avait rien de passionnant, c’était même ennuyeux ; d’ailleurs, il finissait souvent par s’endormir. Aujourd’hui ses « potes » l’avaient secoué et sorti de sa torpeur - une bande d’ingrats, et forcé à changer un peu le quotidien de cette fin de semaine. Fin de semaine gâchée pour la visite surprise de sa tendre génitrice. Qui sait peut être qu’un peu de compagnie lui redonnerait de l’énergie !
Il était peu décidé au final, il soupirait à intervalle régulier pour faire comprendre son mécontentement, répondait brièvement aux questions qu’on lui posait et se montrait acariâtre : de quoi en faire fuir plus d’un ! Le sorcier n’appréciait pas se faire trimballer ainsi contre son propre gré, il se sentait faible d’avoir accepté avec autant de facilité, de ne pas avoir fait d’avantage falloir son opinion. Seulement, il avait cette vision de popularité, élève modèle et charismatique à parfaire, dans quelques instants il allait se montrer souriant, d’une humeur sans égale et grand joueur ! Il y avait des jours où ce rôle de perfection l’emmerdait royalement. Sa mère l’incendiait chaque fois qu’elle le redécouvrait, il avait souvent ce sourire idiot plaqué sur le visage lorsqu’elle daignait se montrer à lui. Elle lui racontait comme elle avait honte d’avoir un fils incapable de se comporter dignement au sein d’une si prestigieuse école. Il n’avait jamais compris pourquoi elle se plaignait tant de son dévouement concernant les études, ce qu’il comprenait néanmoins, c’était qu’elle abhorrait l’aura humaine qui découlait de son fils. C’était le problème qu’elle lui avait posé deux jours auparavant.
Déconcerté par l’attitude dévastatrice de sa mère, il avait passé son temps à ruminer sur le bien-fondé des paroles de celle-ci ; incapable d’y déceler une once de vérité. Finalement, il se retrouvait dans une salle moindrement occupée, une vingtaine d’élèves, pas plus, étaient regroupés et passaient du bon temps. Son visage avait pris une autre couleur, il semblait plus serein et empreint à la bonne volonté. Inspectant la salle des yeux, dans l’espoir de tomber sur une silhouette familière. Le bleu avait remarqué quelques têtes connues, dont l’une le faisait jubiler d’avance ! Oubliées les soucies avec maman, il y avait de quoi se détendre un moment. Il se fraya un chemin sans grande difficultés, saluant plusieurs personnes avant de marquer un arrêt mi parcours. « Julia. Accepterais-tu de me prêter ce joli nœud que tu portes ? » Confuse, la demoiselle balbutia un petit oui, et s’empressa de dissimuler son visage rougit par la gêne. Il savait qu’elle en pinçait fortement pour lui depuis plusieurs années, c’était une des raisons pour lesquels il s’était stoppé à son niveau ; elle n’aurait pas pu refuser sa requête. Gabi se remit immédiatement en mouvement, traçant une ligne droite à travers la salle afin d’atteindre son but final : une table où deux jeunes asiatiques menaient une discussion. Il ne pouvait pas être plus heureux ! D’un geste calme il s’empara du dernier dossier de chaise libre, y déposant paisiblement sa main. Il dévisagea alors les deux visages d’une expression détestablement satisfaite.
« - Sun Hee, comment vas-tu ? » Il salua le compagnon de table de la belle Olen d’un simple mouvement de tête, avant de revenir sur sa cible. Un grand sourire charognard illuminait son visage, il se sentait près à entamer « Tu as oublié cette pince la dernière fois. Tu te souviens ? » Il pouvait lui rafraîchir la mémoire si elle le souhaitait, bien que l'objet en question n'ait absolument rien à voir. Oh, Gabriele était, plus que quiconque, au courant des réticences de la jeune asiatique concernant la divulgation de leur « secret » ; c’était la raison de son excitement. Depuis la nuit qu’ils avaient passé sous la même couette à faire des cabrioles, le vampire n’avait de cesse de lui faire des remarques, plus ou moins subtiles, concernant leur « nuit d’amour ». Ce jeu l’amusait complètement, et il ne s’en lassait aucunement : elle mordait à chaque coup, ce qui le rendait encore plus insistant.
Dernière édition par Yamada Keisuke le Dim 9 Oct - 18:13, édité 14 fois |
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