i'm a student
Yosuke Ren
AVATAR : Miura Haruma AGE : 20 ans SECTION : Scientifique HERE I AM : Who's bad ?
| Sujet: Ren is joining the party again ~ Jeu 15 Sep - 12:14 | |
| Yosuke Ren feat Miura Haruma
Sexe - Masculin Né(e) le - 17.06.1991 Âge - Faites le calcul, non mais... Bon Ok 20 ans. Origine - Japonais ~ Orientation sexuelle - Hétérosexuel Section - Scientifique ~ Année - 2e suite a un redoublement. Clan - None Yet ~
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YosheeX
Votre Age - 19 ans Votre Fréquence de rp - Normalement je peux souvent RP. Tout le temps même, quand WoW et la Fac me le permettent. Vous comprenez, sur WoW je dois gérer une team de bras cassés et à la fac, je dois gérer ma prise de note pour les nouveaux qui galèrent, surtout qu'en droit les profs n'arrêtent pas ! M'enfin c'est la vie d'étudiants quoi... Donc voilà. Comment avez-vous connu le forum ? Un petit oiseau est passé et me l'a murmuré. Autres - Qui veux être mon ami ? Ok je déraille, je sors. Bon j'ai repris ma fiche de l'ancienne plateforme et j'ai amélioré son comportement, histoire de mettre un peu plus de précision. Walà. Si ça pose problème, jetez moi des pierres. |
Respect des autres ★★★★★
Docilité ★★★★★
Sensibilité ★★★★★
Confiance en soi ★★★★★
Sociabilité ★★★★★
Sérieux ★★★★★
Maîtrise de soi ★★★★★
Popularité ★★★★★ |
Comment se comporte votre personnage - avec les autres - Ren. Définir ce petit bout d'homme avec les "autres". Il est clair qu'il ne traite pas ces inconnus de la même façon que ses amis. Dans un premier lieu à l'université, l'air je-m'en-foutiste de Ren a tendance à agacer plus qu'autre chose. Souvent un chewing-gum en bouche qu'il mâche ouvertement si vous vous adressez à lui, il vous regarde de haut sans cesser de vous dévisager au point de vous rendre mal a l'aise. Ce n'est que selon votre réaction face à cet air rebelle qu'il adopte que vous rencontrerez le vrai Ren et le gros con qu'il aime jouer.
Un gros con, dans le sens qu'il se fera un plaisir de se moquer ouvertement de vous si vous avez une réaction négative. D'ailleurs, cela peu aller très loin au point de se faire des ennemi et, bien souvent, Ren a eu recourt au mains après avoir soit disant manqué de respect a un imbécile qui venait lui chercher des noises. Mais attention. Le japonais a une très bonne mémoire. S'il vous a dans le collimateur il n'hésitera pas a vous défier ne serait-ce que par le regard pour vous narguer. En revanche si vous réagissez positivement, c'est à dire, ignorer son attitude et tout ce qui va avec, il se fera un plaisir de vous aider. Il n'est pas méchant, mais son expérience lui a appris a faire un tri parmi ses connaissances, et choisir un peu mieux les personnes qui occupent son cercle d'ami. D'ailleurs, c'est seulement après avoir passé ce "test" que Ren vous traitera comme un ami.
Cependant il existe des situation ou Ren n'est pas aussi désagréable. En dehors de l'université, lorsqu'il n'est pas en présence de ses camarades, il n'est qu'un simple citoyen qui tente de lutter contre l'envie de fumer. Il est souriant lorsqu'il faut, tente d'être un minimum poli ; L'image qu'il offre en dehors n'a rien a voir avec celle de l'université. Il aime venir en aide aux gens, donner des leçons de morale aux mamies qui tentent de traverser au feu rouge, bref Ren c'est le parfait petit citoyen. Par contre il arrive que le nippon ne sentent pas certaines personne, et ce, bien avoir des les rencontrer. Des gens qui font les gros lourds, qui pensent avoir tout les droits, ou tout simplement qui lui rappellent son ancien gang. Et là, c'est le drame. Ren est vraiment désagréable, car il ne s'amuse pas ; Il s'énerve. Et rien de pire qu'un Ren énervé, car malgré son contrôle de soi, il peut très facilement dérapé si la personne qu'il ne supporte pas en viens a pousser le bouchon un peu trop loin.
- avec ses amis - Les amis des amis de Ren sont ses amis. Sauf exception. Mais quoiqu'il en soit, le jeune Nippon est quelqu'un qui ne se prend pas la tête. Une oreille attentive, des conseils a donner bien qu'ils soient parfois très mauvais... Ren est quelqu'un de très correct et très respectueux envers son entourage. Toujours prêt à faire des cadeaux ou bien rendre service... En présence de ses proches, Ren déconne, retire cet air de gamin rebelle et adopte de très bonne manières, sauf quand il ouvre la bouche. Il a besoin d'attention, c'est pourquoi il en donne tant, une sorte de prêté pour un rendu. Ren n'est pas quelqu'un de très poli malgré tout. Son franc parlé et son argot on longtemps dérangé ses parents... Et il y a de quoi. Pour le reste, c'est un grand béta. Toujours souriant bien entendu. Il est assez maladroit et ne se pose pas de question quand il est avec ses proches. C'est le parfait ami. Vous pourrez l'emmener ou vous voulez, Ren suivra.
- avec ses conquêtes - Jusque lors, Ren n'a jamais eu d’intérêt... Ou presque. A vrai dire, il aurait put a mainte reprise, mais cela ne l'a jamais réellement branché. La peur de faire tout et n'importe quoi pour une personne qui vous abandonnera et vous oubliera tellement vite...
Bien souvent, il ne se rend même pas compte qu'il éprouve des sentiments, croyant tout simplement que c'est son côté protecteur qui remonte à la surface, ce regret qu'il la toujours eu de ne pas être le grand frère, c'est probablement pour ça qu'il tombe sous le charme des jolies filles fragiles, dont il se sent toujours obligé d'être le protecteur. Peut-être qu'un jour il réussira à mettre un mot sur ses sentiments si quelqu'un lui ouvre les yeux.
Parcours personnel - global -
« La vie elle vraiment un long fleuve tranquille? Longtemps je me suis posé la question, et encore aujourd'hui j'en viens à douter. » Explique Ren dans son blog qu'il met à jour assez souvent. « Ne jamais douter des autres, et douter de soi même... C'est quelque chose qui me fou en rogne, car tout ça c'est dût aux événements passés. » L'article s'arrête ainsi. Mais Ren se remémore sa vie a l'instant ou il clique sur publier. Finalement, c'est vers un autre article qu'il se tourne afin d'écrire sa biographie.
« 17 juin 1991. Bénir ou non ce jour? Bonne question. A vrai dire, j'aurais aimé être seul à voir le jour ce soir là, mais il fallait que ma sœur pointe le bout de son nez avant moi. Quelques minutes seulement. Et elle avait déjà pris la grosse tête. Dans mon esprit de bébé bridé je voyais déjà l'avenir qui s'annonçait ; Le petit jeune de la famille. Alors que tout ça n'étais une question de minute. » Un vague soupire, puis il reprend ;« Déjà, j'étais né dans une famille riche, originaire de la Triade, et en plus, on habitait dans les alentours de Tokyo, une grande maison vide. Quand je suis arrivé la première fois, que j'ai vu l'état de la baraque je me suis dit "Ren, dans quels bras tu t'es fourré?". Je ne m'étais pas trompé. J'aurais limite dût échanger ma place avec un autre bébé qui se plaignait d'être né avec des pauvres... Mur blanc, design réglo. Tout ça prouvait que ces gens, ou du moins mes parents, n'étaient pas du genre très famille. Ça sentait le boulot là dedans, l'huile de coude, l'endroit ou on sert les fesses et on attend que le sort s'abatte sur nous. Déjà, bébé, je savais. Je savais que j'allais en chier, que ce soit avec ma sœur jumelle, mon père, ma mère ou même la nounou. Dur dur d'être bébé. On sait pas marcher, on ne peut même pas s'enfuir en courant, couche culotte au fesse pour éviter ce foutu destin qu'on vous impose. » Ren s'arrête encore une fois, sourit quelques instant en se relisant. L'auto dérision... Un truc qu'il a très vite appris.« Donc au début... Ren soumis. Ren apprend. Premier mot que j'aurais aimé apprendre? MERDE ! Mais non. Finalement j'ai quand même jouer dans l'originalité : Aho. Et je l'ai dit a mon père. Bon c'est pas toujours agréable de se faire traiter de crétin mais ce jour là je me suis pris une gifle mémorable, tout ça parce que je répétais ce que la nounou disait de mon père quand il avait le dos tourné. N'empêche, gifler un bébé... A l'époque j'avais de trop petit bras pour appeler le droit protection enfance ou je ne sais quoi, qui aurait pût m'enlever à cette famille de fou. Et à côté? Y'avait l'autre, "l'ainée", tellement plus intelligente que venait dire papa et maman. Tu m'étonnes que je lui balançait des cuillères de purée à table quand j'ai commencé à manger tout seul. M'enfin, ce jour là j'ai très vite compris que ce ne serait probablement pas la dernière gifle qu'on me donnerait. Cet air insolent, je l'avais déjà à l'époque couche culotte et ça agaçait déjà. Du coup, pour se débarrasser de Ren, on le colle quand il à l'âge, dans une école non-élitiste. Après tout, j'étais sois disant bon a rien alors, pourquoi s'emmerder a payer une école cher alors qu'on a les moyens. Collons là bas, sa sœur. ELLE, elle le mérite.» Petite relecture et correction. « Quoiqu'il en soit, quand vous arrivez dans une école paumé avec souvent les prolétaires et classes moyenne réunis, comme disait ce fasciste (Mon père pour les intimes)... Vous apprenez vite a fermer votre gueule sur vos origines et sur l'importance de votre QI. Bonjour. Je suis un surdoué, mais mes parents me prennent pour un imbécile. Des questions? Ah, tu veux mon cahier d'exercice? Je ne les fais pas. Pourquoi tu me regardes comme ça? T'étais pas censé être mon copain? Tu m'insulte de... Bref! La belle vie quoi. Les bastons, le respect non respecté, des petites teigne que je m'amusais a corriger pour ensuite me prendre une mandale mémorable auprès de mon père. " Ren, tu es irrécupérable. Tu te bats au lieu d'étudier, tes résultats sont juste au dessus de la moyenne! Tu nous fais honte ! Tu comprends? HONTE ! " De l'autre côté, y'avait la sœur, bienveillante. L'ainé, qui prend son rôle très a cœur. " Petit frère. (je l'aurais tué pour ça a l'époque si j'avais eu plus de tact) Tu devrais vraiment t'y mettre. Je peux t'aider, regarde mes résultats s'il y a des choses que tu ne comprends pas, demande moi. " Traduction ? Tu es une grosse merde Ren, et tu me fais tellement pitié que j'accepte de te donner mes cahiers si tu as besoin. Après tout je suis " L'élite ". Laissez moi rire. On raconte que les jumeaux sont censé être proche. Je vous assure qu'a cette époque, cette fille était mon pire ennemi, et longtemps je l'ai maudit. Et croyez moi. Il y avait de quoi haïr cette fille. » « Du coup, j'ai un peu travaillé. Mes résultats augmentèrent, mais soit disant que je trichais, du coup, on m'empêcha de rejoindre un collège un peu mieux. De là j'ai encore une fois un peu plus travailler. Atteindre les 16 de moyenne sans bouger un petit doigt c'était tellement cool. Enfin, 16 en devoir sur table, car les devoirs à la maison se faisaient rarement, je passais le plus clair de mon temps à m'amuser devant ma console, ou bien à jouer de la guitare. C'est d'ailleurs à cette époque que j'ai commencé a fumer malgré l'interdiction formelle de mes parents. Ma vie était d'un ennui... Quoique ma seule distraction c'était entendre ces vieux hurler en voyant mon carnet et mes résultats. Ils n'avaient pas encore remarqué que mon QI était supérieur à la normal, tout simplement car le niveau à l'école étant trop faible, je ne foutais rien sous l'ennui. En plus, ils se faisaient de moins en moins présent, les allés retour avec la Corée du Sud pour les affaires... Du coup, j'entre dans un lycée un peu mieux. Mieux dans le sens que la mentalité est un peu plus mature qu'au collège. Quand je suis arrivé au lycée, y'avait de jolie filles, des mecs un peu dans mon style : Sérieux et déconneur... Bref pas mal de changement. Enfin, j'ai très vite regretter cette époque. Des mecs sérieux? Laissez moi rire. J'ai très vite ravaler ma langue dans ma poche quand j'ai découvert qu'en fait, ils n'étaient pas sérieux du tout. Des petits playboys qui chassaient les pauvres minettes Tokyoïtes plutôt que d'aller en cour. Et puis parmi eux, il y avait Inoue. Une petite, toute mignonne, la copine du "chef de la meute" comme je disais si bien. Trop aveugle à l'époque pour voir a quel point je me faisait avoir. Inoue... C'était à mes yeux la beauté à l'état pur. Une petite merveille, timide, discrète... Étonnant de voir qu'une fille comme ça trainait avec des loubards de notre genre. J'aurais tout fait pour elle, pour lui rendre service, et ça elle l'a très vite compris... Et d'ailleurs elle m'a très vite foutue dans la merde. En fait c'était qu'une pauvre manipulatrice qui s'amusait à sauter sur tout ce qui bougeait. Dommage pour elle, j'étais pas assez docile. J'avais beau avoir un minimum de sentiments pour elle, je ne l'aurais jamais touché par respect pour son copain. » « Ma sœur, avait entendu parlé d'Inoue... Et surtout, elle avait entendu une conversation dans le café ou elle travaillait parfois. Inoue était là avec ses copines. Soit disant qu'elle parlait de mettre un nouveau garçon dans son lit, et qu'il s'appelait Ren. Au début, Chisato (Je vais bien finir par l'appeler par son prénom, la pauvre) ne s'occupait pas réellement de la discussion. Et puis, en voyant l'uniforme, elle tilta. C'était moi, le Ren, la prochaine victime. Quand mon ainée vint me trouver, je lui ai carrément rit au nez. En quoi, cette "Fille" allait se mêler de mes histoires? A vrai dire, des filles de mon lycée, y'en a pas mal, pareil pour les Ren. J'ai appris plus tard que ma sœur avait fini par lui dire de me foutre la paix le lendemain suite à ma réaction, et qu'Inoue lui avait collé une gifle. La brunette était une très bonne calculatrice. Très attentive. Un jour elle avait entendu que mes parents repartaient en Corée le WeekEnd... Le vendredi soir, elle était à ma porte en pleures et trempé, vu qu'il pleuvait averse. Rectification. IMITATION de pleurs. Mais trop aveugle, je l'ai laissé entrer chez moi. Grossière erreur. Trop bon trop con, je l'ai laisser venir dans ma chambre histoire qu'elle se sèche. Ma sœur m'a croisé en sortant de la salle de bain avec une serviette, un regard plein de reproche. Je faisais une grossière erreur et je m'en suis rendu compte après. Une petite serviette qu'on tend avec un thé chaud, tous deux assis sur un lit, sa tête qui se pose sur mon épaule... Et puis un baiser. Et sachez que ça n'avait rien de féerique, car déjà, elle a lâché son thé sur ma moquette et deux seconde après j'étais allongé sur mon lit avec une lycéenne en chaleur au dessus de moi. Trois ans qu'elle devait planifier ça. Trois ans qu'elle m'avait dans le collimateur. Trois ans ou j'avais été aveugle. Ce jour là, la délicatesse je l'ai oublié. Cette fille, je l'ai carrément fait rouler pour qu'elle s'écrase par terre. J’ai hurlé. Hurlé car je venais de me rendre compte qu'elle allait me faire chanter vis a vis de son copain. "Comment tu peux me faire ça? Comment tu peux oser? " C'est le discours que tienne les filles dans les feux de l'amour, sauf que là, c'était moi. Elle n'a pas répondu, juste sourit. C'était un démon en face de moi, et j'étais a la fois dégouté et terrorisé. Elle est revenue a la charge, tentant de retirer mon t-shirt en affirmant que c'était ce que je voulais depuis trois ans. Finalement, après avoir hurlé à mainte reprise a cette folle de dégager, ma sœur a débouler dans ma chambre pour l'attraper par le col et la jeter au sol. Ah oui. Chisato faisait du judo avec mon père et fallait vraiment pas la faire chier... Et je doute qu'elle avait oublier cette gifle. » « Enfin bref. J'étais dans la merde maintenant. A l'instant ou Inoue m'avait sauté dessus, je savais la tournure que ça allait prendre. Attendez, rectification, je NOUS avait foutu dans la merde, ma sœur et moi. Au retour des parents, je les ai supplié de me mettre dans la même école de Chisato tandis qu'ils nous annonçaient qu'après le lycée on partirait vivre en Corée du sud. Après tout, elle avait toujours eu raison jusque là et m'avait sortit de la merde plus d'une fois apparemment. Tout ce que je pouvais faire c'était faire table rase de ce que je pensais auparavant et avancer. Cependant j'avais tellement perdu durant ces trois années avec ces mauvaises fréquentations que j’eus du mal a obtenir mon diplôme. Entre temps, y'avait les loubards totalement aveuglé par la jolie Inoue qui me traquaient pour me casser la gueule. Finalement lorsque j'ai obtenu mon diplôme, en faisant la fête avec les nouveaux copains (Des gens respectable) j'ai réussi à me faire attraper en rentrant chez moi. Cette fois Chisato n'était pas là mais... J'ai rendu tout de même autant de coups que possible pour ensuite réussir à porter plainte sous conseil de mes parents. J'étais pas très beau a voir mais bon. Au moins, je me suis débrouillé seul ce soir là. 3 contre 1, aucuns mérite mais bon, je m'en doutais un peu. Et puis un mois après on est partit pour une nouvelle vie en Corée. Quand mon père à vu que je voulais réussir, il accepta de m'inscrire à Yonsei en mathématiques, le seul domaine ou j'excelle a plein temps. Ma sœur quant à elle, veux devenir avocat. Il est clair que la première année fût difficile, mais les rapports entre ma famille et moi se sont nettement améliorés malgré mon redoublement. Je pense que je ne suis pas le seul à avoir murit à ce niveau là. » Un petit moment d'hésitation. « Je crois que même si ce bébé pauvre dans le berceau aurait voulu ma vie, je ne l'aurais pas échangé en ayant sût tout ça. Après tout, j'ai appris beaucoup de choses... » Finalement Ren fini par appuyer sur CTRL+A afin de supprimer tout ça. Il dépose a nouveau ses doigts sur le clavier pour rédiger son ultime phrase : « Rien n'arrive par hasard. C'est une nouvelle histoire qui commence désormais. »
- scolaire - Longtemps Ren fût un bon élève à l'école jusqu'à son entrée au lycée ou ses mauvaises fréquentations lui posèrent quelques embuches. Il n'est pas du genre a se faire remarquer, même pour amuser la galerie, cela ne l’intéresse en aucun cas. lorsqu'il parvint a se séparer de ces foutus emmerdeurs, excusez moi l'expression, la "réinsertion" dans les études fut assez difficile. Il passa malgré tout son diplôme avant de redoubler sa première année une fois arrivé à l'université, le niveau étant trop différent. Depuis, il s'accroche en travaillant un minimum, très peu motivé depuis cet "échec".
Détails physiques - apparence générale - Ren est un garçon mesurant 1m78 pour un poids correct ~68kg. Une carrure assez fine, pas très carré malgré tout. Des cheveux bruns et assez longs pour un garçon, d'ailleurs il ne les coiffent pas réellement, cela lui donnent cet air assez rebelle et négligé. Certains le comparent a un brun ténébreux tout simplement a cause de ses cheveux en plus de ses yeux marrons. Après tout, Ren est japonais. Il n'échappe pas a la règle des yeux marrons et en amande.
- style vestimentaire - Le jeune nippon n'a pas de style vestimentaire à proprement parler. Il s'habille comme il aime. Parfois chemise classe, quelque fois bonnet et vêtements large. Il ne se classe pas dans une catégorie vestimentaire. Ça le gave en faite.
- signes particuliers - Ren mâche souvent un chewing-gum afin de diminuer sa consommation de cigarette. La nicotine c'est le mal, et étant donné qu'il ne peut pas fumer en cour, il mâche nerveusement ces trucs à la chlorophylle.
| Aimeriez vous adhérer à un clan ? Oui/Non Peut-être Si oui, au(x)quel(s) ? Nous verrons quand il y en aura plusieurs. Et au(x)quel(s) n'aimeriez vous pas adhérer ? Peeker, je leurs casserais bien la mâchoire à ces fouines. Ceci est une déclaration de guerre mes amours <3 Exemple de Rp- Spoiler:
Après midi ensoleillée. A vrai dire, je ne sais pas ce qui m'avait pris de venir à la plage de Beverly aujourd'hui, moi qui avait tendance à vouloir protéger ma peau pale des éventuelles coups de soleil douloureux dont un temps pareil ne m'épargnait pas.. J'allais être servie. Pourtant, de nombreuses solutions s'étaient ajoutés à mon panel de contre attaque, du coup, c'est vers un petit Tshirt manche courte que je me suis tournée. Les dos nus, même d'un temps pareil, ce n'étais vraiment pas mon truc. J'adorais la plage. Oh, oui, j'adorais la plage, mais j'aurais aimé que la couche d'ozone soit doté d'un filtre UV afin de me préserver de la douleur que j'allais endurer, car comme d'habitude, j'avais prévu la solution "Crème de protection". Oui, la crème, qui protège la peau du soleil, j'ai tendance a devenir encore plus blanche qu'un linge lorsque je l'étale sur moi, d'ailleurs bien souvent j'ai du mal... Et je lutte. Toutes ces petites choses faisaient que... La plage n'était pas ma grande alliée. Loin de là. Et je l'évitais comme la peste. Mais parfois, il faut faire des "concessions".
Donc, arrivée a pieds, histoire de me dégourdir et tenter de m'adapter à la température. Une casquette, les lunettes, un pantalon en lin blanc et des tongs. Voilà la parfaite panoplie de touriste. Bon bien entendu je n'avais pas oublier de mettre mon maillot de bain, au cas ou une envie soudaine de me baigner me prendrait - Et donc souffrir par la même occasion -. Mes pieds me guide sur le sable brulant de la plage qui est, bien évidemment d'un temps pareil, bondée. Une vague de soupire m'envahit. Je vais vraiment avoir l'air stupide si je garde tous mes vêtements en plein soleil. Tant pis, je subirais ma folie... Et la crème solaire. Chaque pas est un supplice pour mes pieds. Le sable viens s'incruster sous la plante de mes petons alors que je m'aventure à travers les gens, évitant bien entendu de leur balancer du sable en pleine figure. A travers les lunettes, je recherche ce qu'il me faut. Un parasol. Oui, un parasol, quelqu'un à amadouer... Mais bien trop souvent ce sont des femmes avec leurs enfants et un petit mari à côté. Du coup, après un bon quart d'heure de marche, voilà que j'en viens à abandonner et déposer ma serviette à quelques pas de l'eau histoire de baigner mes pieds si besoin est. Le goût du risque... J'aimerais ne pas l'avoir en cet instant. Sans un mot, - de toutes façon a qui voulez vous que je parle? - j'ouvre en grand mon sac et commence à ôter mes vêtements pour garder seulement mon maillot de bain bordeaux en anticipant la suite. Le soleil vient taper brutalement mes épaules, et je les sens très vite chauffer. Une seule solution ; La crème solaire. Automatiquement, ma main plonge dans mon sac, sors un libre que je comptais lire au soleil, puis je trouve enfin ce tube de crème grasse en blanche qui reste opaque une bonne demi heure. Concentrée, j'en viens à appliquer en premier sur mes épaules puis les jambes, et enfin les bras. Le plus simple, me direz vous. Je m'assied sur la serviette de bain, évitant de croiser le regard des bimbos qui ont tendance à m'agacer, puis c'est au dos que je m'attaque après avoir appliqué de la crème sur mon visage et sur le ventre. Parfois, il m'arrive de songer qu'un maillot une pièce éviterait tous ces désagrément. Alors avec difficulté et avec peu de flexibilité dans mes mouvements, je tente d'étaler dans mon dos cette crème. Il faut croire que le bon dieu ne voulait pas que je bronze ce jour là. Ou bien que je passe une journée agréable malgré mes réticence à sortir. sans que je ne m'y attende, un coup de vent vient alors faire voler les milliards de grain de sable m'entourant. Sous la surprise, je me fige. Le sable projeté par le vent reste quand même assez désagréable, comme une petite aiguille qui s'enfonce sur votre peau. Très désagréable. Les mains recouverte de crème sablé, je ne peux même pas m'essuyer les yeux qui me brûlent. Ma serviette est elle aussi recouverte de sable. Mon livre a valsé sur la personne à côté de moi. Prise alors d'une colère mémorable envers le sable, le soleil, le vent et la plage... Je commence d'abord à jurer en norvégien sur la situation.
- FUCK. OFF.
Non ça ne soulage pas du tout. J'ai l'impression d'être l'abominable femme de sable, et attention a la première personne que j'entendrais ricaner face à la situation. Je risquerais de me jeter dessus si je vois que c'est une de ces bimbos "parfaite". Alors, dans un geste d'impuissance, mes mains s'abattent sur le sable brulant autour de ce qui semblait être, ma serviette. Comme quoi. Ça n'arrive pas qu'aux autres. Je déteste l'été.
Dernière édition par Yosuke Ren le Jeu 15 Sep - 13:13, édité 2 fois |
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