Vraiment, cet endroit était l'endroit parfait pour se reposer et soufflé un bon coup. Bon tranquile n'était pas le mot puisque quelqu'un allait entrer dans la même pièce que le jeune homme, il fallait qu'il en sorte le plus vite possible pour ne pas être dérangé par quelqu'un qui parle au téléphone et pour ne pas déranger lui non plus la personne au téléphone ça serait mal polit. Il se précipita alors vers la porte mais avant qu'il n'eut touché la poignée voilà que la porte s'ouvrait déjà laissant place a une silhouette familière qui ne savait décidément pas monter et parler au téléphone dans les escaliers sans rentrer dans le premier «Inconnu» qui se présentait face à elle... « Je suis désolée ! Je ne vous avais pas vu et j'ai... … Hiroki ? » Bousculé par la jeune femme il recula d'un pas les yeux fermé à cause du choc en la retenant par les épaules afin qu'elle ne puisse plus tomber de nouveau. C'est en ouvrant progressivement les yeux qu'il d’aperçu que la personne qui lui avait rentré dedans encore une fois n'était autre que son ex ... Il écarquillait presque les yeux. « Hyo.. Min ... ? Euh qu'est ce que.. » D'un mouvement presque automatique il se baissa pour commencer à ramasser le café qui était tombé et nettoya rapidement le sol avec un de ses mouchoirs qui trainaient dans sa poche. «Laisse je vais le faire. » Était-ce une excuse pour ne pas la regarder en face et replonger dans un longue dépression ou était-ce seulement pour ne pas qu'elle retombe a nouveau en glissant sur le café répandu sur le sol ? Va savoir. Comment expliquer ce qu'il pouvait ressentir à ce moment là ? Les battements de son cœur s'accéléraient et il faut croire que la jeune femme lui faisait toujours le même effet. Elle était devenue encore plus belle qu'avait hiroki l'avait remarqué. C'était pour lui encore la plus belle femme sur terre à ses yeux mais une femme qui ne voulait plus de lui. Mais c'est malgré lui qu'il était fasciné par sa présence, par son charme, par sa fraicheur et son naturelle environnant.

Il se leva alors semblant de rien et la pris par l'épaule en l'invitant à s'asseoir près de la baie vitrée comme si rien ne s'était passé et comme si ils étaient simplement de bons amis s'étant quitté la veille pour se retrouver le lendemain. «Je te refait un café ? » .... Derrière ces paroles se cachait malheureusement un stress, le stress vous savez lequel. Non pas le stress plutôt la peur. La peur de vous envoyer bouler et de vous foutre une claque pour rien et de s'en aller en claquant la porte. Allait-il lui demander quelques explications a propos de ce qu'il s'était passé ? Non il ne sait pas encore, il ne sait rien.