Invité
Invité
| Sujet: Tu as besoin de moi, autant que je n'ai pas besoin de toi. — Min Chan [FINI] Sam 24 Sep - 16:18 | |
| SEO MIN CHAN feat Lee Soon Kyu
Sexe - Féminin Né(e) le - 1er septembre Âge - 24 ans Origine - Coréenne Orientation sexuelle - Je me dit Hétérosexuelle, mais les Filles m'attirent plus... Section - Littérature Année - 2ème année Clan - The Troublemakers
|
Pseudo du joueur
Votre Age - 21 ans Votre Fréquence de rp - Tous les jours si possible. Universitaire. Donc pas mal de boulot à la clé. Comment avez-vous connu le forum ? J'en ai entendu parlé ! Et je cherche un forum avec pas trop de monde... car, personnellement, je préfère un forum avec une bonne trentaine de membres actifs, qu'un forum avec 100 membres dont la moitié inactif... Autres - Je suis votre déesse lunaire. |
Respect des autres ★★★★★
Docilité ★★★★★
Sensibilité ★★★★★
Confiance en soi ★★★★★
Sociabilité ★★★★★
Sérieux ★★★★★
Maîtrise de soi ★★★★★
Popularité ★★★★★ |
Comment se comporte votre personnage - avec les autres - Je ne SUIS pas une garce. Je ne VOUS emmerde pas. La vie est faites de chose que vous ne comprendrez jamais, et je ne suis pas une question à ÉLUCIDER ! Merd*, réveillez vous. Les autres ne sont qu'un tas de gens qui n'entre pas dans mon train de vie, ils me jugent, me fixent de leurs regards perçant. Et oui, ça me TUE. Même si je ne vous connaît pas et que le fait que vous ne me voyez jamais sourire vous agace. Tournez vous, regarder en arrière, votre passé, vos actes ratés, vous êtes un peu comme moi. Et pourtant, j'ai beau vous tuer du regard, je ne retiendrais jamais votre tête. Dites moi... pourquoi vous retenez la mienne ? Pourquoi gravez-vous dans votre saloperie de crâne que je suis une traînée ? Je ne suis pas un oiseau de mauvais augure. Je suis une fille. Parmi temps d'autres. Et vous, vous. Oui, toi et toi, je peux déjà pas vous piffer. Devrais-je tout faire pour rentrer dans votre vie pour que vous cessez de m'observer de la sorte ? Je ne vous regarde pas de travers pour m'amuser, je veux simplement que vous vous éloignez de moi. Malheureusement, je crois que vos regards me brûlent de l'intérieur, j'en ai presque les larmes aux yeux, et je vous tuerais pour cela. Aussi inconnu que vous êtes. Votre vie est bourrée de conneries.
Je n'hésite pas une seule seconde à m'attaquer à ceux qui me font du mal. Et j'aime rendre service. Je vous entends dire parfois, que je parle comme une fille des rues et que ma famille n'a jamais pris le soin de m'éduquer. C'est exécrable ce que vous dites, pourtant, c'est un peu vrai. Je suis une pauvre paysanne perdue dans cette belle nature. Je suis vulgaire avec beaucoup de gens, mais celui qui parvient à utiliser tous les langages finit toujours gagnant. J'use de ma plume aussi bien que de ma langue, je connais tous les registres de langues, mais le plus intimidant, c'est peut être le registre familier. Vous ne pensez pas ? Vous dites que je suis une garce ? Une vicieuse vipère ? Vous avez presque raison, parce que vous avez devant vous l'une des meilleures briseuses de couple ! Pourtant, oui, je suis peut être pas aussi jolie que vous... Mais je sais déceler vos pires points faibles et jouer avec. J'utilise très bien mes yeux et ma tête. Souvent pour des fins peut appréciable, ah... c'est peut être pour ça que vous me regardez de la sorte ? Mais je vous EMMERDE !
- avec ses amis - Les amis, une source d'eau pure venue du paradis si je ne puis dire. Je ne suis pas CHRÉTIENNE. Mais je crois en la vraie amitié, à un tel point qu'une trahison pourrait vous faire perdre la tête. Je n'aime pas qu'on s'en aille pour un autre groupe, vous entrez dans mon cercle, vous en sortez pas. Je suis jalouse et possessive, bien plus que votre ancien petit ami qui vérifiez vos messages le soir pendant que vous dormiez. Je suis une possessive de la pire espèce, et je ferais tout pour conserver les amis que j'ai. À eux, je leur confie mes sourires, mes joies, mes peines. Je les perd si vite mes amis... Je sais... Et je SAIS pourquoi ! La vie est compliquée, difficile, laborieuse. Même avec des amis proches, je les sens chaque fois dépérir, quitter mon nid. Alors je les enferme dans un coffre, les cadenas me sont très utiles... Mais eux, ils étouffent. Mes bras leurs font parfois peur... Je me demande, si parfois je leur fais peur. D'où vienne mes crises ? Certains d'entre eux savent, ils connaissent des traces que mon passé a laissé sur moi. Pourtant, je ferais beaucoup pour mes plus proches amis, je serais capable de faire n'importe quoi au delà du possible. Lorsque je suis aveuglée par quelque chose, je suis aveuglée. Que ferais-je suis Min Chan n'avait plus d'amis, plus de bras auxquels se raccrocher ? Elle pourrirait sans doute la vie de ceux qui lui aurait brisé le cœur. Moi, je ne vous trahirais jamais. Pour rien au monde. Je mentirais même pour vous, car oui, je suis une excellente actrice.
On me voit comme une fille vraiment compliquée, même mes amis ont parfois du mal à comprendre mes sautes d'humeurs. Je parle beaucoup, mais jamais pour ne rien dire. Même si parfois mes phrases n'ont pas toujours du sens, vous finirez peut être par comprendre. Je suis intelligente, parfois un peu trop. Mais attention, je suis loin d'être une génie, au contraire. Je travaille. Je suis peut être une bout-en-train, mais je suis quelqu'un de très sérieuse. Je suis même d'ailleurs perfectionniste et minutieuse. Je SAIS. On peut en dire des choses sur ces deux traits caractéristiques, ils peuvent être dangereux pour mon moral. Mais malheureusement, vous savez, il est déjà au plus bas. Je craque facilement. Parfois pour pas grand chose. J'en ai pas vraiment conscience. Je ne me contrôle pas. Ce sont mes amis qui m'aident à me contrôler.
- avec ses conquêtes - Je DÉTESTE cette question. Je la HAIS. Ne me la posez pas si vous ne me connaissez pas. Vous n'avez pas le droit d'entrée dans ma vie privée de la sorte ! Vous en pleurerez, vous vous en mordrez les doigts. Vous...
Ne perdez pas votre temps avec ça... Je suis seule. Depuis longtemps. Vous êtes stupide de me demander cela.
Parcours personnel - global - Un coeur qui pleure, c'est aussi un coeur qui saigne. Je n'ai jamais eu beaucoup de chance dans ma vie, même si elle n'est pas comparable à la vie horrible que certains ont pu vivre. J'aime me plaindre sur ma vie désastreuse. Je faisais partie d'une classe moyenne, et j'ai promis à un garçon qui a disparu de la circulation alors que je n'avais que quinze ans. Il avait été d'accord avec moi sur le fait que nous devons tout faire pour éviter ce mariage forcé. Je comprenais mes parents, ils voulaient dépendre d'une famille riche et rouler sur l'or. Mais je ne voulais pas suivre leur souhait. Par chance, c'est mon ami qui prit les devants et disparut de l'horizon. Je ne le revis jamais, pas même ses parents. Le projet fut donc abandonner.
Plus jeune, je n'ai jamais été la petite princesse de la classe. Au contraire, j'étais un peu celle qu'on trouvait bizarre. Il m'arrivait souvent de faire de petites crises. L'avantage, c'était que les gens ne m'attaquaient pas personnellement, même les pires vipères. On avait peut être un peu peur que je lance un mauvais sort ? Je n'en sais absolument rien, je n'ai jamais voulu en savoir beaucoup sur les mœurs. J'étais une fille détachée, un peu dans son petit univers. J'avais souvent le sourire aux lèvres toutefois. Puis, un jour, une nouvelle est arrivée en cours d'année. Je n'aurais jamais cru qu'à 16 ans, ma vie serait chambouler à ce point. Toutes les filles jalouses de la classe s'étaient mis à la critiquer, bien sur, vous vous attendez bien que moi : je l'admirais déjà. Sa longue chevelure jais avait de quoi surprendre. Et ses yeux... bleus. J'ai appris plus tard que sa mère était d'origine allemande. Comme la classe ne disposait de plus beaucoup de table seul, elle dû s'installer à coté de moi. Tout de suite, elle a essayé d'engager la conversation. C'était vraiment un moment que je n'oublierais jamais. Son sourire, son assurance. Tout ce que je n'avais pas. J'étais faible, et je ne savais pas encore surmonter mes faiblesses. On est devenue très amie. On ne s'est plus quitter jusqu'à la première année d'université. Mais je savais que beaucoup de doutes planés sur elle, elle me cachait beaucoup de chose. Elle me mentait souvent aussi, sans doute voulait-elle me garder à l'abri. Comment aurais-je pu savoir que son père faisait partis de la mafia japonaise ? Jamais. J'ai fait la connerie de la suivre une fois, de voir ses magouilles. Tout c'était mélangé, bousculé. J'entendais mon coeur crier. Pourquoi avait-elle arracher ma confiance de la sorte ? Cela avait été tellement brutale et douloureux que je ne me souviens plus vraiment des pensées qui ont traversés mon esprit. Je crois que j'ai rêvé le soir même de la façon que je pourrais la tuer... Le lendemain, à l'école, je ne lui ai pas adressé la parole une seule fois. Pourquoi étais-je si brisée ? Et pourquoi cherchait-elle à me parler ? Elle avait beau ne pas savoir que j'étais au courant du mal qu'elle opérait sur notre jolie ville, je ne pouvais m'empêcher de vouloir la voir au fond d'un trou. Mon imagination fusée. Mais j'étais amoureuse d'elle, je ne m'en suis rendue compte qu'après notre dispute, quand je l'ai poussé dans les escaliers et qu'elle s'est brisée nuque et membres. Cet évènement m'a plongé dans un profond trou noir. Je ne pourrais vous expliquer ce que j'ai pu faire pendant plus de quatre ans enfermé dans ma chambre, à ne manger que le stricte nécessaire. J'ai pété un plomb. Mes parents ont essayé à plusieurs reprises de me faire sortir. J'ai hurlé, crié. J'avais tué quelqu'un. Tué. Même si elle avait fait des choses mal... en faites, elle ne m'avait jamais vraiment relier à ses histoires sordides pour me protéger. Elle tenait peut être à moi. Et moi, et moi, j'avais fait une connerie... Trop. C'était de trop. Ne me demandez pas comment j'ai pu sortir de cette léthargie. Une fois je suis sortie. J'ai repris le cours de ma vie. Et je ne suis plus du tout la même. Maintenant, c'est moi le monstre.
- scolaire - J'ai perdu des années de ma vie en restant cloîtrer dans ma chambre, il est donc évident que mon dossier scolaire peu perplexe car mes notes sont excellentes. Les langues et la littérature ont toujours été mon point fort, et j'ai toujours été studieuse en cours. Les professeurs ne se sont jamais pleins de moi, j'étais assez discrète. Mes notes étaient donc très bonne, mais je n'ai jamais été première de classe. J'aurais certes pu, si j'avais travailler davantage. Mais je n'ai jamais souhaité passer mes journées dans mes bouquins.
Détails physiques - apparence générale - Des cheveux blonds cendrés, quelques mèches brunes parcoure ma chevelure ondulé. Je suis charmante, il n'y a pas à dire. Mais mon physique particulier est loin d'égaler celui de certaines beautés. Je suis disons, assez simple. Mon visage donne l'impression que je fais cinq ans de moi, ainsi que ma petite taille. Mon mètre cinquante cinq contre mon poids de quarante trois kilogrammes surprend. Je suis fine et élancée, mes formes sont bien là où elles sont. Je n'ai pas une poitrine très généreuse comme nos très chères européennes, mais j'en ai, je ne suis pas complètement plate. Mes lèvres sont ce qu'on peut appeler pulpeuse. Quand j'étais petite, c'était ce que j'appréciais le moins chez moi. Car parfois, elles ont l'air disproportionnées. C'est une bonne raison pour éviter de mettre du rouge à lèvre rouge pétant, puisque cela accentuée ces traits.
- style vestimentaire - Je suis dans la fleur de la mode, j'aime regarder les nouvelles collections peu importe les saisons. Je m'adapte assez vite à la mode, et j'apprécie les couleurs malgré que mon cœur soit bien sombre. J'ai beaucoup de mal avec les gens qui sont vêtus entièrement de noir, j'ai toujours besoin d'une touche de couleur. De plus, j'apprécie porter des talons haut, car cela à l'avantage de me grandir. Car même dans notre beau monde asiatique, je fais partie des plus petite... Que c'est rageant à force. Alors, je triche.
- signes particuliers -
| Aimeriez vous adhérer à un clan ? Oui Si oui, au(x)quel(s) ? Troublemakers, possible ? Et au(x)quel(s) n'aimeriez vous pas adhérer ? Les autres... XD Exemple de Rp- Spoiler:
Pas de flotte aujourd'hui. Juste des rayons de soleil qui percer à travers ces nuages grisâtres. Bordel. Quand va t-il pleuvoir ? Voir ces têtes toutes déprimés par ce manque de soleil le mettait dans une humeur qu'on pouvait considérer comme joyeuse.
« Pas un seul petit poisson dans les parages... qu'est-ce qu'ils ont tous à profiter de ce foutu soleil à la con... Y a rien à voir dehors... »
Ce n'était pas l'heure des cours, à cette heure-ci, il était libre de faire ce qu'il voulait, et personne ne viendrait se dandiner dans ses pattes. Une moue déprimée apparut sur son visage alors que sa contemplation de la cours de récréation n'était pas plus captivante que d'observer un poisson rouge faire le tour de son aquarium. Un soupire s'échappait bruyamment de sa gorge alors qu'il se redressait, frappant lourdement le rebord du balcon sur lequel il avait décidé d'apprécier n'importe quel spectacle. Qui malheureusement, n'était pas au goût du jour aujourd'hui.
Cette journée était à chier. Il y avait rien à faire, tout le monde s'était carapater dans leur chambre, certains profitaient peut être d'une orgie. Et pourquoi on l'avait pas appelé ? C'était tous des fêlés, et ces nanas, surtout la petite chef là, qu'est-ce qu'il avait envi d'aller lui décrocher la mâchoire juste pour délirer. Ce serait simplement amicale. Et dans sa grande bonté, avant de quitter la salle, il ferma même la fenêtre.
Sa chambre était bien le dernier endroit où il avait envi de se retrouver, déjà il avait aucune envi de voir la tronche de ses colocs qu'il ne connaissait pour le moment qu'à peine. Deux bons gens complètement sans intérêt. Et dans le lot, une gamine. Qu'il avait croisé dans le hall. Et l'autre mec, ses cheveux avaient une couleur vraiment bizarre. Quel est l'intérêt de se teindre les cheveux en blanc si ce n'est pour prendre dix ans dans la gueule ? Galadriel ne put pas réprimer sa grimace tout en glissant ses mains dans ses poches et en sortir son paquet de cigarettes. L'odeur fit frétiller ses narines, et il alluma sa bonne copine en plein milieu du couloir. Pas de surveillants dans la parage ? Le gamin n'avait même pas pris le temps de vérifier, il considérait que croiser un surveillant pourrait mettre un peu de piment sur le feu pour raviver sa situation actuelle. Situation embarrassante. L'ennuie : Qu'est-ce qu'il pouvait vous ronger jusqu'à la moelle parfois. Il inspira et expira la fumée, ses pas semblaient bruyants, c'était comme si tous les murs avaient décidé de réverbérer ces sons pour qu'il se rende bien compte qu'il était tout seul dans cette école de merde. Bien sur, même s'il ne le savait pas, il y avait sans doute quelques jolies profs dans la salle adéquat, où quelques mâles en rûte en train de prendre leurs douches dans les chambres. Mais notre roux n'était pas d'humeur à fouiner.
Le bruit de quelques oiseaux le fit sortir de ses pensées, il se rendit enfin compte qu'il avait le nez dehors et quitter l'école par la même occasion. On ne pouvait pas dire que sa liste d'amis était colossale, il n'en n'avait pas vraiment. Disons que les ennemis étaient en quelques sortes des amis qui lui permettaient de ne pas mourir de solitude. Après, c'était quoi franchement l'amitié ? Surtout dans cette école de dingue. Ah. Oui c'était vrai, ils étaient tous dans le même sac. Une école de fou. En fin de compte, il avait peut être été envoyé à l'asile sans s'en rendre compte.
Mais il aimait ces petites guerres. Ça combler ses envies meurtrières, ça l'empêchait de penser aux mauvaises choses. Quelles mauvaises choses ? Mais rien... Que dalle. Il n'y a jamais de mauvaises choses dans la vie des gens. Juste de bonne chose. Des bonnes choses qui sont parfois à classer dans un ordre bien précis. De la meilleure à la moins bonne chose.
Galadriel s'arrêta un instant, alors que ses pas le menaient nul part, et que sa clope était déjà finit. Il avait fumé le filtre s'en sans rendre compte. Deux ans de moins de vie dans le cul.
Cette ville était aussi morte que l'école où il avait été envoyé.
« De toute façon, taper sur des piailleuses, y a que ça de vrai... »
La vieille assise pas loin avec son caniche avait pas l'air d'apprécier qu'il se parle tout seul. Le jeune homme pencha légèrement la tête sur le coté en sentant un regard se poser sur lui, un petit sourire mesquin aux lèvres il ne manqua pas de préciser à la dame :
« Vous inquiétez pas. Ça vous arrivera sans vous en rendre compte de vous parler à vous même quand votre caniche aura crever... »
Son sourire fut bien éphémère, et par chance (pour la dame peut être) il oublia complètement sa présence pour prendre la direction du parc où quelques jolies couples seraient sans doute allonger dans l'herbe.
* Et puis de toute façon... elle doit bien lui parler à son clébard. C'est pareil non ? *
Mais c'était là que... oh malheur. Le parc n'était pas si blinder qu'il l'aurait cru. Mais il y avait bien un mec qui attira son attention, le teint pâle, l'expression sombre, il l'avait déjà croiser quelque part celui là. Sans réfléchir, comme à l'accoûtumer, il s'approcha du jeune pour lui retirer son calepin des mains et constater qu'il dessinait. Tout aussi vite, il laissa retomber le cahier de dessin sur les jambes du brun en demandant :
« Alors Picasso. On apprécie la plage, le soleil, et les nanas ? »
Galadriel n'était pas friand des artistes, peut être était-ce une jalousie cachée, mais ça il ne le saurait jamais lui même. Il esquissa un mince sourire.
« Même si t'en a rien à faire de ce que je te raconte, j'voulais juste savoir, tu serais pas dans l'école de merde dans le coin de la rue ? »
Dernière édition par Seo Min Chan le Lun 26 Sep - 9:26, édité 3 fois |
|