i'm a troublemaker
Lee Tan
AVATAR : zico (block b) AGE : 21 ans SECTION : Scientifique ANNEE : 4ème
| Sujet: Lee Tan on the BLOCK. Mer 14 Sep - 18:04 | |
| Lee Tan feat zico (block b)
Sexe - M Né le - 14.04.1990 Âge - 21 ans Origine - Coréenne & Chinoise Orientation sexuelle - Bisexuelle, officieusement Section - Sciences Année - 4e année Clan - X
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Skamp
Votre Age - 18 ans Votre Fréquence de rp - 7/7 ; iPhone baby ♥ Comment avez-vous connu le forum ? J'ai tenue la main de Bang ! lorsqu'elle a accouché 'o' Autres - Nouvelle plateforme, nouveau perso chérie ♥ |
Respect des autres ★★★★★
Docilité ★★★★★
Sensibilité ★★★★★
Confiance en soi ★★★★★
Sociabilité ★★★★★
Sérieux ★★★★★
Maîtrise de soi ★★★★★
Popularité ★★★★★ |
Comment se comporte votre personnage - avec les autres - Sociable. Encore faudrait-il que vous osiez lui adresser la parole, l'approcher. Impressionnant peut-être, mais surtout très agressive et provocant. Une once de sadisme traine dans ses veines, méchant sur les bords, taquins à ses heures perdues et trouble faite. Il s'amuse de la confusion de son dernier, aime devenir la goutte qui fera déborder le vase. De plus, son tempérament de feu, son franc parlé et la tornade de vulgarité dans sa bouche a tendance à lui attirer de sérieux problèmes, les foudres de ses chers camarades. Il parle, il parle, dit tout ce dont il a envie, sans retenue, sans censure. Il devrait peut-être modérer ses propos, souvent on lui fait la remarque : il fait trop de bruit. Mais que croyez-vous qu’il leur réponde ? Il s'en fiche bien, il a une excellent répartie et sa nature énergique et spontanée n'est pas près de changer de si tôt. Surtout que Tan est désespérément jeune, il ne compte pas devenir mature dans les mois à venir, non. C’est une tête brûlée, qui n’hésite pas à rentrer dans le tas. Trop fier pour admettre ses erreurs et se laisser marcher sur les pieds. De ce fait, il n’hésite pas à user de la force de ses points. Et ce qui pourrait le perdre est ce trop plein d’estime qu’il a pour lui-même. Il part du principe même que dans n’importe quelle situation, il sera toujours capable de s’en sortir et ce, haut la main. Cependant, Tan est bien vue par une grande partie de ses camarades ; ce large sourire, étirant plus un coin de ses lèvres que l'autre est susceptible de vous amadouer, de vous amuser.
- avec ses amis - Ah, les amis. C’est la vie ! Il est vrai que Tan a grandi dans un environnement des plus modestes, où on apprend à apprécier la vraie valeur des choses. Mais il n'est pas de cet avis. Le matériel ; quel est l'hypocrite qui a dit que ça ne comptait pas ? Il a cette sale manie de voler les portefeuilles un peu trop pendant des sacs dans les rames de métro, afin de subvenir à ses propres caprices. Les vêtements sont le dada de son frère mais quant à lui, il préfère l'électronique, la pointe de la technologie high tech ; éperdument amoureux de son iPhone. Cleptomane, non. Plus, voleur. C’est si facile pour lui, doté d’une discrétion incroyable. Il est donc facile de le soupçonner lorsque quelque chose cloche et vous aurez raison. Bien qu'il démentira ardument ; fourbe. Mais lorsqu’il s’agit de ses amis, il donne tout. Altruiste, généreux. « Oh il est jolie ton t-shirt ! », d’accord. Il le retire aussitôt pour vous le tendre. Le cœur sur la main. Il est pour ce dicton qui prône : « Quand on aime, on ne compte pas ». Et il peut se montrer extrêmement adorable quand on prend la peine de bien le connaitre. Protecteur envers ses cadets, complices avec ses ainés. C’est un excellent élément dans un groupe : impliqué, il prend les choses très à cœur, trop en fait. C'est un passionné et ne fait jamais les choses à moitié. Au contraire, il a même une tendance à tomber dans l’excès. Tan est une tornade d’énergie, actif et dynamique et doté d’un grand esprit de compétition par-dessus le marché.
- avec ses conquêtes - Un mot glissé dans son sac, un regard en coin, des gestes susceptibles, fins, discrets. Tan est loin du romantique, de l'amoureux transite, ou même du jaloux maladif. Pour lui, le sentiment amoureux doit se fonder sur des petites attentions tout en raffinement : étonnant me direz vous. Mais c'est un passionné. Ils privilégient les actes aux paroles. C'est pourquoi, ses relations sont charnelles, brûlantes de désir et de sentiments refoulés. En effet, son affection, il n'en fait que rarement part. Ce serait un mensonge que de dire qu'il n'est jamais tombé amoureux. A l'inverse, son cœur a tendance à s'emballer très vite, pour un rien ; abonné aux coups foudres en tout genre.
Parcours personnel - global - Une mère d'origine chinoise, extrêmement accès sur la tradition, ses racines. Un père coréen, plus libéré, plus moderne dirait-on et d'un amour fou pour sa fleur de jade, comme il aime s'entendre l'appeler. Une fusion, une symbiose quasi parfaite, qui amena ce jeune couple à s'exclure de leur famille réciproque, afin de vivre leur passion hors des jugements. Une petite maison, où le premier étage fait office de restaurant traditionnel. Ils y font de la bonne nourriture coréenne et chinoise, à prix fort abordable et d'un service irréprochable. Ce lieu, situé à trois heures de la capitale, possède depuis de nombreuses années, ses habitués. L'étage au dessus sert d'appartement à ces hôtes. Lee Tan est donc né dans cet environnement, modeste et simple. Néanmoins, il ne fut pas seul ; en même temps, dans la foulée, un deuxième garçon vit le jour : Lee Xin. Un faux jumeau, un compagnon de chambre, de jeu. Tout deux ont toujours été des enfants très turbulents, énergiques, épuisant leurs parents jusqu'à leur limite. L'ainé -de deux minutes- s'imposa très rapidement dans ce petit quartier, se faisant remarquer par des cris, des bousculades mais surtout d'un charisme et d'une force de caractère impressionnant pour un si jeune enfant ... L'âme d'un meneur certainement. Puis rapidement, en grandissant, sa vue s'éclaircit, entrainant une désillusion. Il réalisa que la situation familial d'un niveau budgétaire fut et, est encore très tendue. Sa mère, qui fut toujours la plus parfaite malgré son éducation stricte, arborait de moins en moins son sourire bienveillant et protecteur envers sa chair et son sang, des fruits de son amour, de cette continuité d'elle même. En réalité, elle n'avait pas guérit de son baby blouse. Même pas, dix huit après.
La petite maison dans la prairie, l'image de cette famille idyllique disparut subitement. Son père n'avait jamais eut d'yeux que pour sa femme et ce depuis le début. Il guettait impatiemment sa guérison, en espérant qu'un jour, elle l'enlacerait à nouveau avec force. Ces instants n'ont pas encore eu lieu. Il va de soit que les deux frères se sentirent délaisser, bien qu'au fond, ils ont un profond respect envers leurs géniteurs. Mais. Tan voulait exister. Il ne supportait pas le fait de n'être qu'un fantôme, un soupçon de lui même, privé de son évolution dû à un manque d'affection. Les conneries s'enchainèrent. Le plus simplement du monde, il entraina son jumeau. Le vol, la fuite, la violence, l'alcool ... Ils cessèrent de compter le nombre de fois où la police les ramenèrent à leur domicile, les oreilles tirés vers le haut. Évidement, les punitions fusèrent au même nombre que les infractions : douche froide, coup de bambou dans les mollets, forcer de garder les bras en l'air durant d'affreuses heures. Et même si Xin flanchait, le brun n'hésitait pas à le reprendre, à le ramasser et le relever dignement. Ne jamais perdre la face. Ils sont différents certes, cependant, Tan aime son frère du plus profond de ses tripes ; sa moitié, partageant les mêmes blessures. Une situation triste, je vous l'accorde, mais notre métisse n'a pas toujours mal vécu. Il est ambitieux, il voit grand et tire partie de n'importe quelle situation.
- scolaire - Bouille de renard, fourbe mais pas stupide. On en douterait vraiment à voir son attitude, mais Tan est plutôt appliqué dans son travail et ce, notamment, depuis l'université. Il a envie de faire quelque chose de vie et non pas faire des nouilles toute sa vie, comme ses parents -bien qu'il respect ce métier. Une image encore flou de sa voie, mais une chose est sûr, il visera toujours plus haut.
Détails physiques - apparence générale - Une taille moyenne, des cheveux sombres, qu'il s'amuse à éclaircir de temps à autre. Des yeux de renard, très étirés, les même que son frère. Ajouté à cela, son fameux sourire, large, étincelant et un sourcil levé ; Tan dans toute sa splendeur.
- style vestimentaire - Largement influencé par la mode américaine, il aime se vêtir de jeans aux différents coupes, de t-shirt plus ou moins ample, une belle paire de basket et généralement, un casquette noire. Sa garde robe est plutôt pauvre comparé à celle de son frère. C'est pourquoi, il ne se gêne pas pour y piocher de temps à autres.
- signes particuliers - Fan d'Hello Kitty. Il a un bon coup de crayon, mais surtout. Une répartie incroyable mais surtout un débit de parole hallucinant. Il s'amuse à faire le bad boy rappeur américain en karaoké et ça sonne plutôt bien, surprenant.
| Aimeriez vous adhérer à un clan ? J'sais pas encore Si oui, au(x)quel(s) ? x Et au(x)quel(s) n'aimeriez vous pas adhérer ? x Exemple de Rp- Spoiler:
J'ai mal. Notre baiser, passionné comme jamais, ne parvient pas à me calmer. Au contraire. Il enflamme un peu plus l'intérieur de ma poitrine. L'ouvrir et en retirer les organes auraient été moins douloureux. Vraiment. Car cette fois, Yuan m'échappe. Il a raison. Il connait la vérité et je suis coincé, ne pouvant nier. J'ai fais assez de dégâts, le mensonge n'est plus la bienvenue. Sa main s'agrippe à mon t-shirt, j'aurais voulu qu'il n'est jamais a le lâcher. Mes doigts libres s'enroulent alors autour de son poignet, comme pour le retenir. Mais je le comprends bien. Le baiser se romps, mes yeux le fixent et je saisis que ... Cette douce caresse fut la dernière. Je me redresse, il s'assoit, nous nous faisons face. Ma gorge se noue, je me sens muet. Mon cœur s'allie à mon estomac afin de m'offrir un tour de grand huit. Ça s'agite là dedans. Le sang aussi, bat violemment sous mes temps, faisant monter la température de mon corps. Rouge. Mon visage vire de couleur. Et j'ai toujours mal. Je le fixe, appréhende. « Tu ne peux pas me demander de rester, pas après ce que tu me fais endurer », là, le poignard perce la chair. Coupable. Ses prunelles croisent les miennes. « Je suis malheureux avec toi ... Tu comprends ? Tu veux que ... Je souffre ? », la lame s'enfonce, profondément, se loge tranquillement entre les côtes.
- Tu as raison ...
Cette fois, c'est moi qui baisse la tête, évitant son regard. Je suis lucide. Je n'ai franchement plus la force, j'ai encore envie d'essayer, de le retenir jusqu'à ce qu'il en crève mais je n'y parviens pas. Je suis fatigué. Ces nuits d'insomnies dues à son absence finissent de m'achever. Mais ai-je le droit de lui en tenir rigueur ? Certainement pas. Sans crier garde, ma vue se trouble, se brouille. J'y vois plus très clair et là, des larmes dévalent mes joues, s'écrasent sur mes genoux repliés. Cette sensation, je pensais l'avoir oublier pour de bon. Il faut croire que non. Et plus les perles d'eaux s'échappent de mes yeux, plus mon coeur me fait joyeusement souffrir. Mes doigts, quant à eux, se crispent sur mes cuisses nus, raclant la peau au passage. Je cherche, en vain, une chose à laquelle me rattacher. Mais c'est la chute libre. Quelle désagréable sensation que de ce dire qu'il est trop tard.
- P... Pardon ...
Dernière édition par Lee Tan le Jeu 15 Sep - 18:27, édité 2 fois |
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